Le masque qui cachait la réalité est bien vite tombé pour révéler le vrai visage socialiste.
Là, ce n’est plus le président qui se mêle de tout mais les ministres et les compagnes qui font des déclarations à contre courant du gouvernement (fin des la semaine des 4 jours à l’école, dépénalisation du cannabis, …) ou des prises de positions contraires à celles du chef de l’état !
Madame Trierweiler a commis une triple faute en donnant publiquement son soutien au concurrent de madame Royal.
Pendant 5 ans, la gauche a fait feu sur le « roi Sarko » en critiquant ses prises de positions arbitraires et en fustigeant son mode de vie.
Madame Trierweiler qui a poussé des cris d’orfraie lorsque le magazine Paris Match a publié un article sur elle en arguant que c’était une atteinte à la vie privée, n’hésite pas à mettre en avant ses mauvaises relations avec l’ancienne compagne de François Hollande, déjà évincée à maintes reprises sur sa demande.
Elle se veut indépendante et souhaite continuer à exercer son métier de journaliste. C’est très bien, mais depuis quand les journalistes se permettent-ils de donner leur avis publiquement. Où sont la neutralité et l’objectivité ?
Et enfin, depuis quand la première dame a-t-elle à intervenir dans le débat public ? A-t-elle été élue ? La constitution ne lui donne aucun rôle officiel, elle doit donc observer un minimum de retenue. Au lieu de cela, elle se comporte déjà en reine intrigante comme dans les belles années de la ligue à l’époque de la renaissance.
Madame Trierweiler a perdu une très bonne occasion de se taire !
Les socialistes n’ont pas encore de majorité à l’assemblée pour nous imposer ce que bon leur semble et nous assistons déjà à des dérapages révélateurs de ce que va être le quinquennat !
Mesdames et messieurs les français, vous avez encore la possibilité d’équilibrer un peu les choses le dimanche 17 juin 2012 en votant pour les candidats du centre qui ne sont pas inféodés à l’UMPS !
Yves Schnell
